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QCM PSE1 PSE2 #3

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Vos réponses sont surlignées ci-dessous.
Question 1
La mesure de la température doit être réalisée systématiquement chez toute victime, suspecte d’hypo ou hyperthermie
A
Vrai
B
Faux
Question 2
La mesure de la température d’une victime a pour objectif de dépister une détresse respiratoire
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 2: 
La mesure de la température d’une victime a pour objectif de dépister une augmentation (hyperthermie) ou une diminution (hypothermie) de la température.
Question 3
Le thermomètre auriculaire peut être utilisé chez un nourrisson de moins de 3 mois.
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 3: 
Le thermomètre auriculaire ne doit pas être utilisé chez un nourrisson de moins de 3 mois, car le diamètre de son conduit auditif est inférieur à celui de la sonde du thermomètre ;
Question 4
Lors d'une prise de température sur une victime, la température ambiante n'a aucun effet sur les résultats affichés par le thermomètre.
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 4: 
Lors de variation brusque de température ambiante (passage de l’ambulance à l’environnement extérieur froid), le thermomètre auriculaire peut donner des chiffres erronés
Question 5
La liberté des voies aériennes est un préalable à toute évaluation de la ventilation d’une victime.
A
Vrai
B
Faux
Question 6
Chez un enfant, la fréquence respiratoire normale est de :
A
12 à 20 mouvements par minute
B
20 à 30 mouvements par minute
C
30 à 40 mouvements par minute
Question 7
Chez un adulte, la fréquence cardiaque normale est de :
A
60 à 100 battements par minute
B
70 à 140 battements par minute
C
100 à 160 battements par minute
Question 8
Dans le cadre du bilan, l'acronyme TRC signifie :
A
temps de respiration continue
B
temps de recoloration cutanée
Question 9
Le TRC est évalué au niveau :
A
des paupières
B
du lit de l’ongle d’un doigt
C
du lobbe des oreilles
D
du bout du nez
Question 10
Lors de la mesure du TRC (temps de recoloration cutanée), normalement le lit de l’ongle se recolore en moins de :
A
deux secondes
B
cinq secondes
C
dix secondes
Question 11
L'évaluation du temps de recoloration cutanée est impossible lorsque :
A
il fait chaud
B
la victime porte du vernis à ongles
Question 12
Lors du bilan, pour évaluer la fonction neurologique et en particulier la motricité, je peux demander à la victime de remuer les doigts puis les orteils ou les pieds.
A
FAUX : elle ne doit surtout pas bouger
B
Vrai, si je prends les précautions nécessaires
Explication pour la question 12: 
La motricité des membres supérieurs et des membres inférieurs d’une victime doit être évaluée pour rechercher une détresse neurologique. Cette évaluation est réalisée systématiquement au cours du bilan d’urgence vitale chez une victime consciente. Elle sera répétée après immobilisation de toute victime suspecte d’un traumatisme de la colonne vertébrale. Attention : Les gestes d’examen d’urgence vitale doivent, dans la mesure du possible, limiter tout mouvement de la victime. En présence d’un traumatisé, il faut assurer une stabilisation du rachis cervical pendant la recherche d’une détresse vitale et la réalisation des gestes de secours d’urgence tant qu’une décision d’immobilisation de la victime n’est pas prise.
Question 13
La traction par les chevilles fait partie des possibilités pour un dégagement d'urgence.
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 13: 
Traction par les chevilles • Saisir la victime par les chevilles ; • tirer la victime sur le sol, jusqu'à ce qu’elle soit en lieu sûr.
Question 14
Le DAE (défibrillateur automatisé externe) n'analyse pas l’activité électrique du cœur de la victime.
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 14: 
Le DAE est un appareil qui permet : • d’analyser l’activité électrique du cœur de la victime ; • de reconnaître une anomalie grave du fonctionnement du cœur à l’origine de l’arrêt cardiaque ; • de délivrer ou d’inviter à délivrer au travers du thorax de la victime, un choc électrique afin de synchroniser l’activité électrique cardiaque.
Question 15
Le défibrillateur ne doit pas être utilisé en présence de matériel ou de gaz hautement inflammable (butane, vapeurs d’essence) ou explosif (panneau étiquette danger).
A
Faux
B
Vrai
Question 16
Pour réaliser un maintien de la tête de la victime, si la tête n’est pas dans l’axe du corps, je peux la replacer délicatement dans l’axe du tronc sans exercer de traction jusqu'à ce que la victime regarde droit devant.
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 16: 
Si un déplacement de la tête est nécessaire pour la ramener en position neutre, la manœuvre sera immédiatement interrompue si : • une résistance au déplacement de la tête est perçue ; • le déplacement déclenche ou aggrave une douleur cervicale ; • le déplacement déclenche des sensations anormales (fourmillements, décharges électriques) dans les membres supérieurs ou inférieurs. Dans ces cas, maintenir la tête dans la position où elle se trouve dans l’attente d’un renfort.
Question 17
L'acronyme ACT signifie :
A
attelle cervico-thoracique
B
attelle cervicale temporaire
Question 18
La mise en place d’une ACT nécessite trois intervenants.
A
Vrai
B
Faux
Question 19
Le collier cervical peut aggraver une détresse respiratoire particulièrement lorsqu’il est associé à des moyens d’immobilisation comme l’ACT.
A
Vrai
B
Faux
Explication pour la question 19: 
La mise en place du collier cervical n’est pas systématique car il peut entrainer des complications comme, une obstruction des voies aériennes, une difficulté à assurer une libération des voies aériennes, une compression des vaisseaux du cou avec aggravation d’un traumatisme crânien ou des complications locales par compression. Le collier cervical peut aggraver une détresse respiratoire particulièrement lorsqu’il est associé à des moyens d’immobilisation comme l’ACT.
Question 20
Sur un relevage à quatre secouristes (pont néerlandais à quatre porteurs), le secouriste qui guide et commande l’ensemble de la manœuvre :
A
est placé à la tête de la victime. Il assure la stabilisation du rachis en maintenant la tête de la victime par une prise latéro-latérale.
B
est placé aux pieds de la victime.
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